13 septembre 2024

Ian-Thomas Bélanger - itbelanger@medialo.ca

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©QIMC

Carte de distribution des anomalies d’hydrogène dans les sols de la région de St-Bruno-de-Guigues, projetées sur fond d’image satellite.

L’entreprise avance qu’elle a observé 8 lectures dépassant 600 ppm, dont 2 dépassant 1000 ppm, alors que la moyenne mesurée était de 531.9 ppm sur un intervalle de 450 mètres entre des conférences supérieures à 1000 ppm.

« Nous sommes ravis d’annoncer cette découverte transformatrice qui délimite une zone d’hydrogène hautement chargée de 70 kilomètres carrés au sein de notre propriété Ville-Marie. Les concentrations d’hydrogène identifiées par l’INRS marquent une avancée significative dans notre quête de solutions énergétiques propres et renouvelables. Cette percée souligne notre leadership dans le secteur de l’hydrogène et renforce notre engagement à faire progresser les technologies durables qui soutiennent les objectifs d’émissions propres du Québec. Nous attendons avec impatience les prochaines étapes du développement et de la commercialisation de cette remarquable ressource en hydrogène », a d’ailleurs affirmé le PDG de QIMC, John Karagiannidis, par voie de communiqué.

Ces résultats proviennent de la ligne 7 nord-sud de 9.7 kilomètres, récemment achevée, dont la mise à mis au jour a permis de découvrir des échantillons de sol contenant de l’hydrogène avec des concentrations supérieures à 1000 ppm.

La compagnie avance qu’une prise d’échantillonnages de sols est prévue à l’automne 2024 ainsi qu’un programme de géophysique gravimétrique et AMT pour évaluer les variations d’épaisseur des dépôts de roches sédimentaires locales.

QIMC affirme que ces données permettront de localiser les zones les plus susceptibles de contenir des roches-réservoirs dans le secteur de St-Bruno-de-Guigues.